Les F(r)uits de Mer
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Ici vous trouverez l'élite de l'élite, la crême de la crême c'est à dire les fruits de mer ...
 
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 [Candidature] Samsaoul.

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3 participants
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Samsaoul
Plancton
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Messages : 2
Date d'inscription : 08/07/2010

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MessageSujet: [Candidature] Samsaoul.   [Candidature] Samsaoul. Icon_minitimeVen 9 Juil - 12:50

Je vais vous présenter la candidature que j'ai fini hier sur Microsoft Works :-)

Bonjour/Bonsoir/Bon appétit à tous, chers fuits de mer !
Je suis un jeune Pandawa nommé Samsaoul, qui aime beaucoup la bière, c'est un de ses défauts Embarassed . Je suis actuellement de triangle, euh... non cercle 42, mais il vaut mieux avoir un petit level qui s’investit à fond qu’un haut level qui reste dans son coin.. Je monte très rapidement, ayant un ami IRL qui ne possède pas moins de six comptes (auquel j'ai accès) :
-Euboli, Iop terre de cercle 178 (à 1% du 179 Mad )
-Darkostotor, Feca feu de cercle 155
-Robindesboa, Xelor feu de cercle 150 je crois
-Lilulili, Eniripsae feu/soin de cercle 150 aussi, je crois
-Diesirae, Enutrof eau de cercle 13x
-Thegambit, Sacrieur air/eau (qui passera multi-élément au fil des niveaux passés)
Je suis un Pandawa terre/soutien, pour taper à Pandatak, bien que je n'ai monté que des sorts de soutien pour l'instant (Karcham et Chamrak, Picole ainsi que Vulnérabilité terrestre), en attendant Pandatak. (d'ailleurs si vous avez des conseils quant à son évolution, je suis toute ouïe).
Comme j'ai accès aux personnages, j'ai aussi accès aux métiers :-). Nous avons donc:
-Un mineur 100
-Un paysan 100
-Un boulanger 100
-Un, non deux alchimistes 100
-Un Bijoutier 100
-Un Joillaumage 100
- Un forgeur de dagues 100
-Un forgeur d'épées 100
- Un bûcheron 66 (en plus c'est un Sram ù_ù)
-Un chasseur 56
-Un pêcheur qui a gonflé mon pote au bout de 14 niveaux, il en est donc resté là...
J'ai commencé à jouer à Dofus voila deux jours de cela, c'est mon ami (celui qui a tout les persos) qui m'a montré. J'ai tout de suite accroché et me voila ! J'ai pris Otomaï car il était dessus ( il était dessus parce que son cousin était dessus, et caetera lol..). Je n'ai pas eu de persos avant ce panda, j'ai choisi cette classe en voyant qu'il n'y en avait presque pas sur le(s) serveur(s), et le personnage me plaisait au niveau du Roleplay. Je suis resté 5 secondes dans une guilde dans laquelle on m'a invité après que j'aie passé un message dans le canal recrutement. Une guilde de quatre membres, le meneur me salut par un : "slt koman sa va ?". Oups mais qui a appuyé sur la petite croix ? Moi ? Ca doit être un bug.. c'est qu'il y en a tellement... Dommage.. maure de laule... Je ne fais partie d'aucune team, à part peut être celle de mon ami, qui me fait gentiment xp pour l'instant (je suis en panoplie prespic pour l'instant, mais je met mes points en force).
In real life je me nomme Fred(eric), j'ai 15 ans et je vais passer en seconde !! ^_^ Je joue les soirs à partir de 19heures, sauf les lundis, les mercredis et les vendredis, où la ce sera à partir de 20heures 30. Je joue aussi les weeks end. Maintenant, le point le plus important : pourquoi je veux venir chez vous :

Déjà, premièrement, je voulais une guilde qui ne parle pas bwork, comme je dit toujours : Le language Bwork, c’est le mal (mais la bière de Bwork c’est le bien). J’ai demandé à mon ami une guilde assez célèbre, et il me répond sans aucune hésitation : les fuits de mer. J’ai fait une recherche sur le net, vous m’avez l’air d’être une très bonne guilde. J’ai aussi regardé un peu dans votre forum (désolé pour l’intrusion ^^’). De plus, vous m’avez l’air d’être organisé, cela prouve que c’est une guilde qui repose sur des bases solides, je n’ai pas envie d’entrer dans une guilde pour qu‘elle se dissolve deux jours plus tard ^^’. Voila pourquoi je veux aller chez vous !! Very Happy


Maintenant, voici mon histoire, ou plutôt celle de mes parents, Aris et Iolo :

Chapitre 1 : la rencontre
C’était une pluie de Javuanor, une de ces pluies qui infiltraient vos vêtements et vous glaçait jusqu’aux os. Dans la forêt encore endormie à cette heure matinale se déroulait une bien triste cérémonie. Aris, les larmes aux yeux, prononça une dernière phrase et jeta la dernière poignée de terre, celle qui recouvrirait à jamais le corps de sa mère. Soudain, un crissement. Et tout à coup jaillit des buissons, une bête. Elle ressemblait à un Milimulou, mais en plus gros. Il s’approcha de la tombe, et la renifla. Le pied d’Aris fusa. Le sang jaillit par saccade de la blessure: il avait atteint une artère. Mais, fou de rage, il ne s’arrêta pas la. Il s’élança, grimpa sur l’échine de la bête en s’agrippant à ses poils, et donna un coup sec. L’échine se brisa net, et le monstre s’écroula sur le sol, baignant dans son propre sang. Aris dépeça la bête, et, en en mangeant un morceau, fit une étrange découverte : une touffe de poils violets et blancs. Il le fourra dans sa poche, se promettant de se rendre dans Astrub pour en savoir plus. Les mercenaires auront sans doute une explication. Puis, mort de fatigue, il se coucha en chien de fusil sur la tombe de sa mère. A son réveil, il dégusta un sanglier tué la veille, puis il se remit en route, tuant tout les monstres qu’il trouvait, tâchant d’oublier la perte de sa mère. Il aperçut un troupeau de Bouftous, et les noya avec des dissolutions. Ca ne lui apporta guère de satisfaction, quand soudain, il aperçut une tête sortir de l’eau.
Le corps auquel cette tête appartenait ne savant manifestement pas nager, il vint en aide. C’est la qu’il la vit pour la première fois. C’était une fecatte, richement habillée, avec des habits en laine de bouftou.
Elle lui adressa un regard reconnaissant. Mais cette nouvelle aventure lui rappela cruellement la perte de sa mère, et il dut faire tout les efforts du monde pour contenir ses larmes. La fecatte s’aperçut de son trouble et lui demanda gentiment si il ne pouvaient pas faire équipe ensemble, et que comme ça ils seraient plus protégés. Puis elle lui raconta son histoire : elle se nommait Iolo, elle était née d’une riche famille de tisserands Amaknéens, mais elle, lasse de cette vie trop tranquille, s’échappa de sa maison à l’âge de 8 ans. Quand elle revint, 4 ans plus tard, elle apprit que ses parents avaient été décimés par la mulite, une maladie transmise par les Mulous. En se rendant à Brakmar, elle apprit que les Mulous étaient dirigés par le Meulou, et elle jura de l’éliminer. Etonné, Aris lui montra le poil trouvé la veille sur son agresseur. Elle confirma qu’il s’agissait bien d’un poil de Meulou. Ils jurèrent de faire équipe, de retrouver puis de tuer le Meulou. Puis elle lui présenta son familier, Kroompst, qui savait défendre son maître. Ensuite, ils décidèrent de se rendre à Astrub pour demander des indications, et de profiter du voyage pour s’endurcir suffisamment pour vaincre leur ennemi juré.


Chapitre 2 : Les épreuves
Ils firent ensuite l'inventaire de leurs biens:
Iolo avait hérité de ses parents les équipements du Bouftou, les équipements du Kwak de terre et une bourse de 80.000 kamas. Aris, de son côté, n'avait que 20.000 kamas ramassés sur diverses créatures tuées en chemin. Il revêtit donc les équipements du Kwak de terre et mit son argent dans la bourse de Iolo. Si ils mettaient leurs compétences en commun, il auraient de quoi manger et se vêtir: Aris avait appris de sa mère comment couper du blé et autres diverses céréales et comment récolter des métaux dans les mines. Iolo, en plus de tisser à merveille, savait forger des anneaux et faire de délicieux pains. Rassurés quand à leur avenir, ils se mirent en route vers Astrub, la cité qui ne brûle jamais. Si ils maintenaient un bon rythme, ils y seraient avant la fin de la journée. Ils n'eurent aucun soucis sur le chemin, exceptée la fois où ils eurent maille à partir avec un chef de guerre bouftou et ses deux acolytes. Aris se débarrassa du chef grâce à sa nouvelle lame, tandis que les adversaires de Iolo se noyaient dans sa bulle. Quand ils arrivèrent à Astrub, il fesait nuit. La seule personne qu'ils rencontrèrent fut un mercenaire passablement éméché qui les mena en zigzaguant jusqu'à la deumeure de son chef. Une fois entrés, ils lui expliquèrent qu'ils voulaient vaincre le meulou. Il les regarda avec des yeux rond, puis se mit à rire. Il leur dit qu'ils n'étaient pas assez puissants, et que si ils voulaient des informations, ils leur faudrait passer trois épreuves.



Chapitre 3 : La première épreuve
La première épreuve serait de tuer le tournesol affamé et de lui en ramener un pétale. Ils se rendirent donc devant l'antre du monstre. Les quatre premières salles ne causèrent pas de soucis, Iolo carbonisait méthodiquement tout leurs adversaires. A la cinquième salle, Aris tua la larve à coups d'épée tandis qu'Iolo brulait le moskito. Mais, ce faisant, une épine de Champ champ s'enfonça profondément dans son ventre. Elle s'effondra en hurlant. Aris tua rapidement tout les autres monstres de la salle et se précipita pour soigner son amie. Mais rien ni personne ne semblait pouvoir la guérir. Le poison se répandait lentement dans son sang. Soudain, alors que tous espoirs semblaient perdus, son dieu lui apparut.
-Bonjour, Aris, dit-il d'une voix calme et posée.
-Sa... Sa... Sacrieur ! bégaia Aris en se prosternant. Je viens te voir parce que j'ai créé de nouveaux sorts : celui-ci permet, quand quelqu'un te frappe, de devenir plus agile. J'ai fait les même qui permettent de devenir plus chanceux, plus intelligent, plus sage et plus endurant.
-Merci, Sacrieur, ces sorts sont géniaux, mais... mon amie est en train de mourir, vous n'auriez pas un sort qui permet de soigner ?
-C'est justement pour cette raison que je viens te voir : j'ai créé un sort qui permet de soigner ses alliés, mais qui, en contrepartie, affaiblit son lanceur. Au revoir, Aris.
Aris se précipita vers Iolo pour tester son nouveau sort. Aussitôt qu'il prononça l'incantation, le corps de son amie se mit à léviter, et s'illumina. Plus la lumière qui sortait du corps de Iolo était éclatante, plus Aris se sentait faible. Quand la blessure fut refermée, il s'arreta, essoufflé. Son amie se sentait de nouveau en pleine forme et lui raconta que Feca lui était apparu tandis qu'elle était dans le coma. Il lui avait confié des armures de tout les éléments, ainsi qu'un sort d'attaque, un glyphe qu'elle testerait à la salle suivante, contre le fameux Tournesol affamé. Quand ils l'attaquèrent, il était accompagné de deux moskitos, un pissenlit, deux roses et trois tournesols. Iolo posa son glyphe sur les deux moskitos et les deux roses. Aussitôt, un bouquet de flammes en jaillit et carbonisa les quatre adversaires visés.
Le pisselit fit apparaître des mauvaises herbes qui entravèrent leur progression. Mais Aris absorba la vitalité de ce dernier et les herbes disparurent. Il lança aussi le sort qui rendait plus fort, juste avant de heurter de plein fouet les ronces des tournesols. De son côté le Tournesol affamé invoqua une rose qui fut assitôt fauchée par le jet de flammes de Iolo. L'épée d'Aris faucha un tournesol, réduisant au nombre de deux les adversaires. Iolo lança une armure de terre, juste à temps pour stopper les ronces du tournesol affamé.. Son acolyte, en revanche, parvint à bleeser la fecatte, mais, encore une fois, Aris soigna son amie grâce à son nouveau sort. Iolo emprisonna le tournesol sauvage dans une bulle, le réduisant à l'impuissance, tandis que l'épée d'Aris blessait gravement le Tournesol affamé. Ce dernier réduisit de moitié la vitalité d'Aris, et, en ce moment précis, celui-ci sentit venir une puissance qu'il n'avait jamais eue avant. Il la libéra d'un coup en criant instinctivement : PUUUUNIIIIITIIIIIONNN !!!! Et la, tout parut exploser. Quand Aris rouvrit les yeux, il ne restait plus du Tournesol affamé... qu'un pétale. Il le ramassa délicatement et le tendit à Iolo qui le mit dans sa besace. Ils coururent ensuite le montrer au chef mercenaire qui les informa que leur prochaine épreuve serait de rapporter un os de chafer lancier du cimetière de Bonta.


Chapitre 4 : La deuxième épreuve
Quand ils apprirent quelle était la seconde épreuve, Aris et Iolo envisagèrent d'abandonner. Le cimetière de Bonta était si loin ! Ils se rendirent donc à la taverne pour noyer leur chagrin dans une bonne pinte, et boire les paroles (et accessoirement la bière) du tavernier, racontant ses exploits de jeunesse. Quand ils entrèrent, il était justement en train d'expliquer en gesticulant comment il avait fait pour double Dark Vlad à la course :
Alors cré bon gu d'Dark Vlad y m'avions défier à la course. Alors moi j'avions pris le cré vindiou d'nom de dieu d'transporteur brigandin ! Et chti avions gagné la course !
Aris sursauta. Il posa sa chope sur la table et s'approcha du tavernier, et lui demanda ce qu'était un transporteur brigandin.
Ben mon chti, si tu savions point c'est quoi eul transporteur brigandin t'allions point aller bin loin. C'etions une monglofiere qui pouvions t'envoyer foutrement loin
-Comme au vindiou d'cimetiere d'bonta ? demanda Aris, tâchant d'imiter le language du tavernier, qui avait visiblement trop bu et qui n'arrivait plus à parler normalement.
-Oui, oui, l'cimetiere d'bonta... figures ti que la bas j'avions défié.... et il repartit dans ses délires.
Iolo s'approcha alors d'une autre personne qui lui expliqua que les chafers du cimetière étaient très aggressifs. Ils se battaient avec des cimeterres recourbés, des lances et des arcs. Seuls les aventuriers expérimentés y allait. Elle demanda alors, si, par exemple, elle et Aris seraient de taille à affronter les chafers. L'inconnu les dévisagea longuement, puis leur demanda leur âge. Quand ils l'eurent dit, il leur répondit qu'ils pouvaient y aller, à condition d'avoir des équipements plus puissants et d'établir à l'avance une technique pour pénétrer dans le cimetière. Ils décidèrent alors d'acheter une panoplie du chef bwork qui rendrait Aris plus fort et plus agile, puis, avec l'argent obtenu en revendant les ressources du Tournesol affamé, d'acheter une panoplie gelax pour Iolo. Iolo acheta un arc en prévision des combats à venir, tandis qu’Aris optait pour une paire de dagues. Ils prirent ensuite le transporteur brigandin en direction de l'entrée du cimetière. Cette dernière était gardée par deux bandits roublards. Cachés dans des buissons, Aris et Iolo attendirent qu’il parte, en vain.
-On dirait que nous sommes tombés sur leur repaire. C’était un piège du chaf des mercenaires pour nous faire abandonner, mais nous passeront, ne t’inquiètes pas. J’ai une idée. Comptes jusqu’à trente, chuchota Aris, puis tire une flèche sur celui de droite. Pendant que tu comptes, j’irais me cacher près du chafer de gauche, et quand tu tireras, je le tuerais avant qu’il ne donne l’alerte.
-A vos ordres, cap’taine Aris, plaisanta Iolo.
Trente secondes plus tard, elle se leva et décocha un trait. La flèche atteignit son adversaire au niveau de la gorge, trancha la carotide et alla se planter dans la colonne vertébrale. Aussitôt, Aris jaillit d’un fourré et égorgea le deuxième bandit.
-Je visais le ventre, dit Iolo en rougissant, tandis qu’Aris lui adressait un regard admiratif.
-Peu importe ce que tu visais, tu es douée ! Bon, tu vois ce bâtiment, la bas ? Demanda Aris en montrant du doigt un vieux bâtiment envahi par le lierre et les parasites. Nous allons monter sur le toit. D’ici, nous aurons un tableau d’ensemble du cimetière, et nous pourrons repérer un chafer lancier.

Nos deux compères grimpèrent donc sur le toit, et la, un curieux paysage s’offrit à eux : des os de chafer jonchaient le sol, et les seuls survivants parmi les chafers étaient entourés de la dizaine de roublards encore en vie. Heureusement, il restait un chafer lancier parmi le groupe de prisonniers. Mais pour combien de temps ?
-Nous allons leur tendre une embuscade, murmura Iolo. Quand il passeront sous nous pour sortir, je décocherai mes flèches tandis que toi tu sauteras du toi pour tuer les roublards. Si tu es en danger, je ferais mes armures. Quand il ne restera plus que des chafers, tu t’écarteras et je ferais mon glyphe. Puis nous ramasserons l’os du chafer lancier.
-Bonne idée ! S’exclama Aris. Mais maintenant : chuuut… ils seront bientôt la.
Au moment ou ils passèrent près du vieux bâtiment, Aris sauta du toit en hurlant : JEEEEEEEEEERONIMOOOOOOOOOOOOOOO !!! Iolo décocha trois flèches d’un coup : une atteignit un ennemi entre les deux yeux, l’autre alla se ficher dans l’épaule d’un roublard et la troisième se perdit dans le lointain. Aris fit deux victimes grâces à ses dagues, avant qu’elles ne tombent par terre. Un soldat s’approcha de lui, un cimeterre sans doute dérobé à un chafer mort dans la main. Avant qu’il ne puisse réagir, Aris lui décocha un Mawasha guerri dans la mâchoire. L’homme tomba à terre, lâchant son arme. Aris s’en saisit et l’acheva froidement. Iolo carbonisa un roublard, puis envoya une flèche qui en toucha un autre en plein cœur. Puis elle hurla :
-Aris !!! Glyphe !!!!
Aris entendit et s’enfuit en courant, tandis que le reste des ennemis finissaient carbonisés. Puis il revint sur ses pas, acheva un roublard encore en vie, et ramassa l’os du chafer lancier, ainsi que sa lance. Ils fouillèrent les soldats qui avaient été tués par autre chose que le glyphe et trouvèrent en tout :
200 000 kamas, un important stock d’armes qu’il mirent dans le sac d’Iolo dans le but de les revendre et plusieurs os de chafer. Ils fouillèrent ensuite le bâtiment sur lequel ils s’étaient cachés, qui se révéla être l’ancien poste avancé des mercenaires en territoire chafer. Ils récupérèrent encore des armes et 100 000 kamas de plus. Soudain, alors qu’il s’apprêtait à sortir, un gémissement plaintif attira son attention. Il venait d’un tas de pierres. Quand il enleva les pierres, il découvrit un corbac apprivoisé dans une cage, à moitié mourant de faim. Il lui donna tous les os de chafer qu’il trouva, et le corbac les trouva tellement à son gout qu’il ne voulut plus quitter Aris. Il le suivait en sautillant, ou en volant au dessus de lui en croassant. Aris le baptisa donc Kroa. Le voyage du retour fut nettement plus agréable : ils purent observer les groupes de craqueleurs des plaines et les blops errer sans but dans la grande plaine de Cania, voir les aventuriers tenter de vaincre les porkass, et enfin, ils survolèrent la forêt d’Astrub. Ils étaient arrivés, et bouillaient d’impatience pour la prochaine épreuve.
Chapitre 5 : la dernière épreuve


Mais le retour à Astrub ne se passa pas comme prévu. Quand ils arrivèrent, tout était calme. Trop calme pour un samedi après-midi. Il firent quelques pas avant que Iolo ne chuchote :
-C’est une embuscade, j’ai vu un mercenaire sur le toit. Fait comme si de rien n’était, et essayes de repérer ou ils sont tous. A la moindre alerte, on crie TIC ! Et je fais les armures. Si ils nous poursuivent, il faut trouver un endroit au centre de la ville, et en hauteur.
-Je propose que si ils nous poursuivent, que nous nous retrouvions à l’hôtel de vente des alchimistes.
-Ok pour l’hôtel de… TIIC !!!
Les flèches ricochèrent sur l’armure d’Iolo. Aris bondit, escalada le mur et égorgea le mercenaire qui s’y trouvait, puis courut vers Iolo :
-Nous devons nous en aller ! Tournons à droite !
C’était une impasse, remplie de mercenaires. Aris prit Iolo, la jeta sur le premier toit venu puis grimpa à sa suite :
-Tires dans le tas !! Hurla-t-il, je les empêche de grimper !
Et il entreprit d’écraser tout les doigts qu’il voyait. Iolo, de son côté, faisait des ravages, et bientôt les mercenaires durent battre en retraite. Ils regardèrent prudemment en bas. La terre était gorgée de sang et une ruisseau rougeâtre se formait déjà dans les caniveaux.
-Ils se sont réfugiés dans la ruelle, la bas, indiqua Iolo.
-Tu as pu les compter?, demanda Aris.
-On a fait pas mal de dégâts, mais ils sont encore une quinzaine.
-On pourrait sauter de toit en toit et en trouver un où on aurait un bon angle de tir, mais qui serait assez loin de leur postion.
Après quelques minutes de recherche, ils finirent par trouver.
Iolo banda l’arc, ferma un œil retint son souffle… environ quatre-vingt mètres plus loin, un mercenaire s’écroula en un râle de douleur, une flèche dans la poitrine.
Elle fit encore 5 victimes et 1 blessé avant qu’il n’y aie plus personne à découvert.
Puis ils mirent au point une autre technique. Ils se rapprochèrent discrètement, Iolo passa face au mercenaires et Aris se cacha derrière. Iolo se mit à découvert, et fut aussitôt prise pour cible. Pendant ce temps, Aris se faufila derrière et égorgea sans bruit 5 mercenaires. Mais l’un d’eux se retourna et donna l’alerte. Aris lui décocha un mawasha guerri et Iolo l’acheva d’une flèche bien placée. Puis elle carbonisa trois mercenaires dans son glyphe et Aris acheva le dernier avec un cimeterre qu’il avait récupéré au cimetière de Bonta. Ils entreprirent de fouiller les corps, et ils s’aperçurent qu’un des mercenaires que Iolo avait tué avec son arc n’était autre que le chef des mercenaires. Ils récupérèrent sur lui le plan qui indiquait ou se trouvait le Meulou. Ce serait la leur prochaine aventure…








Chapitre 6 : L’ennemi.

Une fois de plus, ils fouillèrent les corps des mercenaires, et récupérèrent 200 000 kamas. Avec ça, ils eurent de quoi acheter un bâton à Iolo. Aris resta avec ses dagues, mais ils achetèrent de la nourriture pour leurs familiers. Puis ils prirent le transporteur brigandin. Et c’est avec détermination qu’ils entrèrent dans le repère de leur ennemi juré. Ils arrivèrent dans une grande salle, avec des crocs glands. Ils en tuèrent deux pour s’échauffer, mais ils réapparaissaient sans cesse. Ils passèrent donc à la salle suivante. Quatre kanigrous les attendaient la salle suivante:
Aris un tua un avec ses dagues, Iolo en tua deux grâce à ses dagues et la lance du dernier ricocha sur son armure de terre. Aris l’acheva d’un coup de pied surpuissant. Encore des crocs glands. Ils passèrent à la prochaine sans combattre. Ils combattirent deux Milimilous deux mulous et un kanigrou. Les deux Milimilous et le kanigrou périrent dans le glyphe de Iolo, et, pour les mulous…. Ce ne fut pas beau à voir… Aris se déchaîna. Après qu’il soir passés à la salle suivante, il ne restait strictement rien des deux mulous. Ils arrivèrent ensuite dans une salle remplie de cages et de mulous. Ils se précipitèrent sur eux. Iolo en carbonisa deux, dévia le coup d’un troisième, Aris en tua deux avec ses dagues, mais reçut un méchant coup de griffe. Il cria : Punition ! Il réduisit le nombre des adversaires à deux, que Iolo élimina grâce à son glyphe. Ils se reposèrent un peu, et Aris mangea le pain d’Iolo. Puis ils tuèrent quelques crocs glands, passèrent une salle et… ce fut le noir total. Iolo fit apparître une flamiche au bout des doigts, et aussitôt fut assaillie par des mulous. Aris fit rempart de son corps en lançant le sort qui rend plus fort. Il tua ensuite deux mulous avec sa punition, tandis qu’Iolo en éliminait un troisième avec son nouveau bâton. Puis elle fit un glyphe très bien placé qui affaiblit grandement quatre mulous qu’Aris acheva. Ils arrivèrent ensuite devant le meulou. Ce dernier encaissa successivement un glyphe et deux coups de pied d’Aris avant de donner un magistral coup de patte à Iolo, qui l’envoya valser contre un mur. Aris lui donna un coup de dague, puis courut soigner Iolo. Quand il se retourna, le meulou avait disparu…



Chapitre 7 : Otomaï
Ils suivirent sa trace à travers la longue étendue lugubre nommée lande de Sidimote. Les Ouginaks s’écartaient sur leur passage, les crocs glands poussaient des gémissements plaintifs, et les kolérats couraient se cacher sous terre. Ils ne tardèrent pas à comprendre que c’était grâce à l’odeur du Meulou qu’ils avaient encore sur eux. Ils traversèrent ensuite la plaine de Cania, les yeux toujours rivés sur le sol. Kroompst trottinait à côté d’eux, mais son flair ne leur était pas d’une grande utilité : les traces étaient toutes fraîches D’ailleurs, à la tombée de la nuit, ils aperçurent leur ennemi courant au loin. Aussitôt, Iolo prit son ancien arc, visa, et décocha une flèche meurtrière. Quand tout à coup, la flèche s’immobilisa, et repartit à tout vitesse… vers sa propriétaire. Iolo allait recevoir le trait en plein cœur, quand soudain, kroompst bondit, et intercepta la flèche. Ils se demandaient quelle était cette magie, quand soudain un homme, visiblement un alchimiste, se matérialisa devant eux :
-Bonjour, je me nomme Otomaï, et je vous prie de ne pas toucher à ce meulou. Sa mort perturberait l’écosystème de Sidimote.
-IL A TUE NOS PARENTS !! Hurla Aris, écumant de rage, LAISSER NOUS LE TUER OU NOUS VOUS TUERONS AVEC LUI.
-Oh, j’en doute. A deux, vous avez peut être la puissance nécessaire, mais sans doute pas l’intelligence, ahahahaha!
C’est alors que Kroa fondit sur lui, le blessant.
-Ainsi, vous le prenez comme ça ? Et bien, tentez de rivaliser avec ceci !
Il leva les mains, prononça une incantation, et disparut dans un nuage de fumée, emportant le Meulou avec lui. Alors sortit de la fumée une sorte de bouftou géant, avec une étrange couronne sur la tête. Il chargea, et Aris ne survécut que grâce aux armures de Iolo. Il grimpa sur son dos comme s’il s’était agi d’une Dragodinde, et enfonça profondément ses dagues dans sa chair. Le monstre fit une ruade et Aris, qui n’était guère doué pour l’équitation, tomba. Iolo brula un peu le monstre et sauta de côté pour éviter une morsure. Elle se téléporta loin, prit son arc, le banda, visa et tira. Le monstre s’effondra, la flèche lui ayant transpercé la jambe. Aris l’acheva et dit :
-Il faut retrouver Otomaï, et le meulou. Une fois que nous les aurons tués, nous aurons vengé nos parents.





Chapitre 8 : Catastrophe

Ils se rendirent à Madreastam pour louer un bateau qui les mènerait à Otomaï. Mais personne ne voulait leur prêter une embarcation, faute d’argent… Alors ils avisèrent un voilier, appartenant manifestement à des mercenaires, qui se préparait à embarquer pour Otomaï. Aris et Iolo se cachèrent dans la cale, parmi les provisions. Ils auraient à manger, et serait au chaud durant toute la traversée. Cette dernière se passa sans encombre, à part le dernier jour, ou un mercenaire descendit à la cale, les vit et donne l’alerte. Il fut tué par une flèche d’Iolo, mais la dizaine de mercenaires présents était descendue pour leur régler leur compte. Iolo en tua trois avec son arc. Elle ne pouvait pas utiliser le feu, de peur de tout brûler. Elle fit toutes ses armures sur Aris qui fonça dans le tas et tua deux ennemis avec ses dagues, en expédia un en enfer d’un violent coup de pied à la tempe, puis il attrapa le bâton que Iolo lui lançait pour tuer encore deux mercenaires. Iolo, de son côté, avait atteint un mercenaire en plein cœur avec son arc et était occupée à trainer le corps d’un mercenaire qu’elle avait assommé sur le pont pour le jeter à l’eau. Le capitaine ne leur opposa pas de résistance quand il vit le sort infligé à ses hommes. Il accepta de mener le bateau jusqu’à l’île d’Otomaï. Quand il débarquèrent, ils coururent vers l’arbre Hakam, et entreprirent de se positionner sur une branche légèrement supérieure à celle ou était situé Otomaï.
-Je vais lancer mes dagues, chuchota Aris, et tandis qu’il les renverra vers moi, tu tireras une flèche. Vises bien ! Je vais me mettre en position.
Il alla se cacher dans un buisson, visa avec soin, et propulsa les dagues de toutes ses forces vers Otomaï. Ce dernier, averti par le sifflement de l’air, leva les bras et renvoya la dague. Badabingo. Il reçut la flèche dans la gorge. Aris et Iolo se précipitèrent vers lui pour l’achever, mais il leur dit :
-Puisque vous avez osé me tuer, votre peuple mourra dans d’atroces souffrances ! Il y a ici une kyrielle de monstres, tous plus puissants les uns que les autres, enfermés dans des cages. Malheureusement pour vous, je vais ouvrir ses cages. Il prononça une formule complexe, et tous les monstres s’en allèrent : ils virent un énorme dragon rouge, suivi d’un dragon plus petit ressemblant à un cochon de lait. Il y avait une sorte d’Eniripsa accompagné de cinq poupée, et bien d’autres. Mais certains montres s’en allèrent par la terre, dont un renard monté sur échasses, un chien, un blop multicolore… et le Meulou. Quand il le vit, Aris plongea dans le vide, et échangea de place avec le meulou. Si la peur donne des ailes, cela ne fit pas la différence pour le meulou qui s’écrasa au sol et fut dévoré par les arbres vivant qui vivaient dans les racines de l’arbre. Puis sortit de l’ex demeure d’Otomaï un Iop. Il se nommait Arial. Lui aussi avait voulu tuer le Meulou, mais il avait échoué et avait été emprisonné. Il était heureux qu’il soit mort en tombant. Mais ils devaient encore tuer tout les monstres qu’Otomaï avait libéré pour se venger… La tâche serait ardue, et l’aide d’Arial ne sera pas de refus.



Chapitre 9 : Les strategos

Quand ils débarquèrent à Madreastam, une bien étrange délégation les y attendait :
Oto-mustam, Amayro, le nouveau chef des mercenaires et le chef des roublards. Il avait tous le visage fermé.
-Nous avons eu vent de vos… exploits, commença Oto-mustam d’une voix grave. Les monstres se sont rassemblés, et ils constituent désormais une armée. Une armée encore plus terrible car ils ont pris les monstres de leur famille avec eux. Les Mulous sont la aussi, mais ils ne sont commandés par personne, depuis la mort du Meulou. Ils seront donc faciles à vaincre, mais ce ne sera pas le cas des autres. Ils ont rasé Bonta et Brakmar, et ils sont en train d’avancer vers Astrub, où tous les survivants sont massés. Heureusement ils progressent lentement, et n’arriveront que dans quelques jours. Maintenant, buvez cette potion, elle vous mènera à Astrub. Ils arrivèrent à la statue Iop. Astrub était noire de monde : des enfants pleurant dans les bras de leur mère, des hommes s’entraînant au maniement de l’épée…
-Quand les monstres volants vont survoler la ville… constata sombrement le chef des roublards.
-On n’a qu’à les mettre dans les souterrains ! S’exclama soudain Arial
-Hey ! Pas Iop, le Iop ! S’écria Ost, le nouveau chef des mercenaires. Il mit ses mains en porte-voix et hurla un ordre. Aussitôt, des mercenaires conduirent tout ceux qui n’étaient pas des soldats dans les souterrains.
-Bon, maintenant, il s’agit de mettre au point une stratégie, dit Oto-mustam, en déroulant une carte. Les monstres sont ici, indiqua-t-il en montrant un point situé en peu au nord du défilé de Cania. Nous les avons répertorié en deux catégories : les monstres volants et les monstres terrestres. Les monstres volants sont en avant, et les monstres terrestres ferment la marche.
-Je propose que l’on envoie des cras dans les arbres du village brigandin. Ils auront pour ordre de tuer les monstres mineurs, telle que la Bworkette, le Milimilou… Une fois qu’ils seront morts, les monstres qui leur sont rattachés
-soit seront désorganisés faute d’un chef.
-soit retourneront dans leur zone d’habitation ordinaire, et nous n’aurons pas à les tuer.
-Brillante idée, Igoo ! S’exclama Ost, tu n’es pas chef des roublards pour rien !
-J’ai trouvé comment me débarrasser des monstres volants ! S’écria Aris. Mettons des Cras à Tainéla, plantons un immense champ de pique entre tainéla et Astrub. Les Cras tireront dans les ailes des monstres volants, et ces derniers s’écraseront sur les piques !
-Génial ! Et après, il n’y aura « plus » qu’à tenir le siège. On pourrait éventuellement mettre des pièges dans la forêt pour que les monstres s’embroche dessus !
-Nous avons notre stratégie, conclut Oto-mustam en souriant.




Chapitre 10 : La grande bataille


Comme l’avait prévu Oto-Mustam, la plupart des monstres s’empalèrent sur les piques dressées à cet effet, puis ils se mirent en formation serrée. Erreur : sur un ordre de Ost, le ciel se noircit de flèches, et un grand nombre de monstres s’écroulèrent. Aussitôt les portes de la cité s’ouvrirent et un flot de guerrier en jaillit, mené par Aris. Ce dernier voltigea au dessus d’une bête de pierre énorme, tout en lui enfonçant sa dague dans la tête. Derrière lui, les soldats faisaient un carnage. Quand soudain, il se rendit compte que tout ses adversaires étaient massés derrière un Bwork muni de deux sabres recourbés qui tenait un enfant en otage. Il s’exclama :
« Si toa approcher, moa égorger lui ! »
Aris, sans se démonter s’exclama :
« Chaaaaaaaaaaaaaaaaaaaargez !! »
Le bwork s’apprêtait à égorger l’enfant, quand une lumière aveuglante éblouit tout le monde. Aris s’était transposé avec l’enfant. Cet enfant, c’était moi. Comme j’étais inconscient lors de la bataille, c’est un vétéran, celui qui m’a éduqué, qui me raconta la suite: Iolo décima à elle seule plusieurs dizaine de monde, avant de périr sous les griffes d’un champignon géant. La bataille fut gagnée, malgré de nombreuses pertes. Oto-mustam fut blessé au bras, mais guérit rapidement. Il me nomma Samsaoul, une expression que j’utilisai souvent. Maintenant, il est mort, et j’erre dans Astrub, à la recherche de petit boulot pour me nourrir. Je buvais ma énième bière, quand j’entendis un Sacrieur qui prêchait les badauds:
« Souvenez vous de la bataille d’Astrub, il y a 20 ans de cela ! Cela va se reproduire si nous n’allons pas tout de suite sur Otomaï !
Je sentis alors une immense rage m’envahir tandis que je m’exclamai:
« Dis moi où ils se trouvent !! Je les retrouverai et je les tuerai !!
Il me proposa de rejoindre sa guilde, un groupe de personnes réunis dans le seul but d’empêcher cette nouvelle catastrophe.

Accepterais-je ? Ou alors refuserai-je ? C’est à vous de décider de la fin de cette histoire Wink


Cordialement,
Samsaoul, un Pandawa qui boit vos paroles (et pas que !)


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MessageSujet: Re: [Candidature] Samsaoul.   [Candidature] Samsaoul. Icon_minitimeMar 13 Juil - 0:44

Pour t'éviter toute attente trop longue, cette guilde a été , a ma connaissance, dissoute.
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MessageSujet: Re: [Candidature] Samsaoul.   [Candidature] Samsaoul. Icon_minitimeMar 13 Juil - 11:38

Okay, merci de l'information :-)
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MessageSujet: Re: [Candidature] Samsaoul.   [Candidature] Samsaoul. Icon_minitimeJeu 15 Juil - 13:34

J'ai repris la guilde, juste pour info, renseignez vous avant de poster des bêtises, même si ca part d'une bonne intention vis a vis du posteur.
En tant que meneur j'avais décidé de ne prendre personne, je refuse d'ailleurs pas mal de monde, je préfère rester seul avec mes 2 amis Irl dans la guilde, mais au vue de ta candidature, de ton petit lvl, de l'investissement que tu montre, je vais accepter ta venue, mais sache qu'en l'état actuel, la guilde est plus une structure (enclos, percos...) qu'un support (étant donné le faible nombre de membres, on ne peux pas dire qu'on fait tout ensemble, donc si tu viens il faut que tu sache a quoi t'attendre, mais en aucun cas ton lvl n'est rédhibitoire, et étant donné que tu as pas mal de persos a disposition, je pense que ça te posera pas de soucis.
Tu peux me mp IG, je suis co a des horraires éparses, /w Evil.
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MessageSujet: Re: [Candidature] Samsaoul.   [Candidature] Samsaoul. Icon_minitime

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